La liste s’allonge de semaines en semaines, mais l’entreprise finlandaise semble complétement passive face aux menaces pourtant présentes que représente les pédophiles sur Habbo. Après la Grande-Bretagne (relayé par Channel 4), après l’Espagne, après l’Allemagne, c’est l’hôtel italien qui vient d’être touché par un nouveau cas de pédophilie.

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L’article, paru sur un site internet italien, relate les faits accomplis par l’inculpé qui fait l’objet d’une enquête préliminaire, n’ayant pas encore aboutie. Toutefois, des éléments de preuves ont été apportés et démontrent clairement que le jeune homme pratiquait, en toute connaissance de cause, des pratiques sexuelles interposées par webcam avec des mineures…de 13 ans.

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Trois semaines, trois scandales.

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HABBO, LE PARADIS DES PÉDOPHILES.

Épisode 4

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Les faits remontent à Février, où les parents de deux jeunes filles de 13 ans portent plainte dans le commissariat de leur région d’habitation car les filettes étaient entrées en contact avec un homme sur Habbo, d’apparence mineur et gentil, mais qui s’avérait être en réalité un pédophile. D’ailleurs, ce dernier n’a pas perdu de temps, puisqu’il a tout de suite voulu connaitre davantage les jeunes filles en leur demandant leur Facebook afin de dialoguer « en dehors » de l’hôtel.

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Par conséquent, les filles avaient ensuite continué à chatter sur Facebook, avec ladite personne, pour instaurer une relation de confiance entre le pédophile et les mineures. Peu à peu, les messages amicaux ont disparu au profit de message à connotation érotique, où l’individu en question exprimait ouvertement son désir d’avoir une relation sexuelle avec les deux filles. Il a forcé les fillettes à se masturber devant la webcam, et a demandé à ses victimes de faire de même. De surcroit, sa pulsion sexuelle ne s’arrête pas là puisqu’il filme entièrement ses ébats sexuels avec les mineures à la webcam et sauvegarde sur son ordinateur toutes les images possibles de ces dernières, entièrement nues.

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Les policiers, après avoir enquêté, ont alors saisi l’ordinateur personnel de l’homme, dont le contenu sera soigneusement analysé afin de déterminer s’il contient des images à caractère pédopornographique, ainsi que d’autres traces éventuelles de «grooming» – en l’occurrence une prise de contact avec un mineur afin d’assouvir à ses pulsions sexuelles à la webcam. La police relate que le but de l’intervention qui était destinée à éviter que l’homme, entré en possession d’informations sur la vie privée et les lieux fréquentés par les enfants du fait des informations fournies par les jeunes filles sur leur compte Facebook, eu une plausible chance de réaliser ses pulsions en voyant ses proies.

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UN TROISIÈME CAS DE PÉDOPHILIE, EN TROIS SEMAINES : TROP C’EST TROP !

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Alors que certains vont – encore – défendre leur entreprise chérie pourtant indéfendable, il faut néanmoins rappeler qu’une dizaine de modérations ont été virés de l’hôtel finlandais il y a encore une semaine, afin de réaliser des économies qui vont servir à embaucher du personnel à vocation financière et marketing.

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Que faut-il faire pour que Sulake prenne enfin ses responsabilités et dénonce ces faits qui n’ont pas la place dans une communauté dont l’âge médian est similaire à l’âge des victimes du pédophile italien ? À force de négliger sa modération afin de prospérer au niveau économique, il est clair que l’entreprise n’est pas à l’abri d’un second gros scandale comme celui qu’à connu notre communauté en Mai 2012, ce n’est malheureusement qu’une question de temps. D’ailleurs, plusieurs acteurs comme l’Union Européenne, qui a fait tant d’éloges envers Sulake en qualifiant Habbo de « site le mieux sécurisé« , pourrait peut-être sanctionner cette dernière lors des prochaines réunions relatives à la sécurité sur Internet, vu les récents évènements… ce qui lui ferait le plus grand bien !

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Les dossiers de Chromo, Sulake