Après une année désastreuse pour Sulake victime, d’une part, d’une crise économique toujours présente entraînant la baisse de la consommation de crédits sur les hôtels et, d’autre part, d’un scandale ayant entraîné la perte d’investisseurs capitaux, celle-ci a décidé de prendre des mesures drastiques permettant de réduire les frais de personnels entraînant deux vagues de licenciements consécutives. Par ailleurs la firme, qui fut autrefois une puissante multinationale, ferme ses bureaux nationaux dans une logique d’économie.

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Alors que l’hôtel néerlandais est l’hôtel qui connaissait le meilleure dynamisme parmi les autres – celui-ci qui est le dernier bureau de Sulake à l’étranger – est sur le point de fermer, selon le directeur de Habbo aux Pays-Bas.

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 À première vue, car en réalité, tout est beaucoup plus complexe…

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L’HÔTEL NÉERLANDAIS « N’APPARTENAIT » PAS À SULAKE.

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Effectivement, si tout était domicilié sous le nom de « Sulake », il est en réalité plus appréciable et plus précis de parler de « TTG-Sulake », une sorte de co-entreprise dominé par TMG – un groupe de communication ; et de Sulake.

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Si jusque là l’hôtel néerlandais semblait épargné du fait de ses nombreux évènements et partenariats, sûrement engendrés par la dynamique de l’entreprise néerlandaise, TTG-Sulake va mettre la clé sous la porte car TMG, détenteur de la licence « Habbo » dans le pays,  a décidé de façon unilatérale de rompre le financement de la licence : ainsi, les employés les plus importants vont rejoindre le HeadQuarter de Sulake en Finlande, au détriment de certains autres employés qui seront licenciés.

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Sulake aurait-elle préparé cette fermeture ?

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Oui, tout simplement parce qu’une annonce de recrutement d’un « Habbo Nordics Community Coordinator » était mise en ligne sur le site officiel de la maison-mère de Habbo Hôtel stipulant que ce/tte dernier/e devrait s’occuper des hôtels d’Europe du Nord – Finlande, Norvège, Pays-Bas – depuis Madrid.

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En parlant des bureaux madrilènes, le bureau espagnol est le même qu’avant la « Spanish Revolution » ; ce qui veut implicitement dire que l’on peut entasser une petite dizaine de bureaux en un seul : les économies by Paupaul !

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Pour les plus curieux, voici le planisphère de l’ère Sulake, lorsqu’elle était une multinationale puissante et prospère à travers le monde : chaque petit nuage représente un bureau, regardez la différence entre hier (15 bureaux) et aujourd’hui (seulement 2).

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La fermeture du bureau néerlandais va-t-elle entraîner la fin des nombreux partenariats et évènements inédits sur ledit hôtel ? Coming soon…

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