Dans cet article je vais vous parler d’une actualité brulante qui se déroule depuis le début de la semaine, les menaces de la Corée du Nord!

L’article étant assez volumineux, je vous invite à le déplier via le petit lien ci-dessous:

Tout d’abord replaçons un peu la situation dans son contexte;

• La péninsule de la Corée est divisée en deux parties, la Corée du Nord et la Corée du Sud.

• La Corée du Nord est une dictature communiste qui possède la bombe atomique tandis que la Corée du Sud est un pays très ancré dans la mécanique libérale et capitaliste (étant dans le même élan que le Japon au niveau technologie).

• Kim Jong-il (« Dirigeant bien-aimé »), l’ancien « Chef suprême de la République populaire et démocratique de Corée », est mort d’une crise cardiaque le 17 décembre 2011 après une quinzaine d’années à la tête du pays. C’est ensuite son plus jeune fils Kim Jong-un qui lui succède à la suite d’une cérémonie funéraire médiatisée, outil de propagande.

La Corée du Nord est sur le pied de guerre, elle mobilise ses troupes, menace son voisin sud-coréen d’intervention armée. Elle se dit prête à envoyer des bombes sur les îles américaines de Guam et Hawaï dans le Pacifique. Avec des nouvelles sanctions votées par l’ONU à son encontre, la Corée du Nord fait parler d’elle!

En effet, début mois de Mars, les États-Unis et la Corée du sud ont démarré des manœuvres militaires de grande ampleur, aussitôt dénoncées comme une tentative d’invasion par Pyongyang (capitale de la Corée du Nord). Le régime nord-coréen a suspendu l’armistice conclu en 1953, en réplique à ce jeu de guerre géant auquel participent 3500 GI et 10.000 militaires sud-coréens.

Pendant que la propagande nord-coréenne chauffe à blanc sa population en exaltant la stature de commandant suprême de Kim Jong-un, Séoul a placé ses troupes en état d’alerte le long de la DMZ, la frontière barbelée qui déchire la péninsule depuis 60 ans. «Le Nord va passer à l’action; soit bombarder une île, comme celle de Yeonpyeong en 2011, soit mener une provocation ciblée sur la DMZ. S’ils ne font rien, ils perdront la face», estime Paik Wooyeal, expert à l’université Sungkyunkwan, à Séoul.

Certains stratèges de Séoul redoutent un coup tordu surprise, à l’image du torpillage de la corvette Cheonan qui avait emporté 46 de leurs marins en 2010. Cette humiliation a laissé des traces amères chez les militaires, qui ont soif de revanche et plaideront pour une réplique plus ferme que par le passé. De quoi attiser le risque d’engrenage.

Ces tensions continuent à rythmer les discussions internationales, de jour en jour. Et augmentent, à chaque nouveau sujet de discorde, l’approche d’un futur paisible incertain.

Avez-vous une position sur ce conflit? Osez-vous spéculer sur l’avenir du monde? Donnez-nous votre avis!

Source: lefigaro.fr

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