• Ensuite je vous propose l’adaptation d’un excellent récit de Boris Vian: L’Ecume des jours

 Comme je disais, ce film est extrait d’un roman du XXème siècle, écrit par Boris Vian lorsqu’il avait 26ans. Ce roman reflète l’attrait que possède son auteur pour le jazz et la science-fiction qui permet au livre d’être à la fois comique et de prendre aux tripes. Pour l’avoir lu et étudié, je peux vous garantir que le roman est une histoire magnifique qui vire au cauchemar, n’exprimant que l’Amour indétrônable qui régit le bonheur en chaque être et l’harmonie presque fantasmatique créée par la musique des Noirs américains!

Le roman m’a tellement plus que lorsque j’ai découvert qu’une adaptation cinématographique avait été réalisée, je n’ai pu m’empresser de trouver un créneau la semaine prochaine pour aller le voir. Rien que le fait d’imaginer une adaptation de ce roman empli de métaphores qui prennent par entière de l’histoire (cf le cancer appareillé à un nénuphar sur le coeur).  Ce sera donc surement le sujet de mon prochain avis critique si il existe une suite à cette chronique (selon votre accueil envers celle-ci).

–

Voici d’ailleurs la bande annonce

• Je vais continuer par vous présenter un film aux multiples récompenses, Hannah Arendt

La réalisatrice de ce film, Margarethe Von Trotta, est la réalisatrice de Rosenstrasse (pour ceux qui connaissent). Le sujet du film actuel est donc bien entendu la philosophe juive allemande  Hannah Arendt. La même qui prônait la théorie très controversée de la « Banalité du Mal » dans ses articles du New Yorker lors du procès d’Adolf Eichmann,un responsable nazi impliqué dans la  déportation de millions de juifs. Ce film se déroule donc bien entendu après la seconde guerre mondiale, dans un contexte de « justice » rendue à cause de crime contre l’humanité réalisé par les nazis. Il s’adresserait plutôt à un public friant de films plus ou moins biographiques et emprunts d’événements historiques plus ou moins majeurs.

 En voici d’ailleurs la bande annonce

• Je conclurai ceci par une critique du film Les Âmes Vagabondes, adapté du roman de Stefanie Meyer, qui est sortit la semaine dernière!

Vous l’aurez bien sûr reconnu, Stefanie Meyer, l’auteur de ce livre, a notamment écrit la tristement célèbre saga Twilight qui a su émoustiller la jeunesse féminine aux quatre coins du globe durant les dernières années. Dans ce livre plus mature, la romancière américaine nous embarque dans un avenir où presque tout les humains sont pris comme hôte par des extra-terrestres qui envahissent leur esprit. C’est dans ce contexte que Mélanie se voit implantée d’une « âme », mais qui parvient à lui résister et à faire évoluer l’histoire plus ou moins dans son sens.

Selon moi, l’adaptation reste majoritairement fidèle au livre d’un bout à l’autre (au niveau des scènes importantes; toutes les subtilités d’un livre ne peuvent pas être retranscrites en 2h de film!) avec des décors réellement sympathiques qui mêlent un côté très moderne et épuré à un côté « rustique » et simple très appréciable.

–

Bien sûr on n’évite pas les scènes de romance à l’eau de rose générées par S.Meyer mais qui finalement permettent de  bien rythmer le film. Je pense que nous sommes bien d’accord que ce film n’est en aucun un chef d’oeuvre du 7ème art mais il constitue cependant un bon divertissement.

–

Pour résumer, je vous conseille ce film si vous avec aimé le livre et que vous être interessé par cette atmosphère, sinon passez rapidement votre chemin ce film ne vous apportera pas une réelle satisfaction.

Voilà, cet article est à présent terminé, je vous laisse le soin de donner votre avis le concernant en commentaire et me dire si selon vous la rubrique est à poursuivre, sachant que je tiendrai compte au maximum de votre avis pour l’améliorer… 

Faites-moi part de demandes particulières par rapport à un film que vous voulez voir apparaître dans cette chronique!

–

–

–

–